Le Bengal

Vous adorez les chats, mais encore plus à ceux qui ressemblent à de vrais petits félins ? Toujours rêvé d’avoir un fauve miniature dans votre salon ? Et bien le Bengal sera un compagnon parfait pour vous ! Avec son pelage roux et parsemé de tâche semblables à celles d’un léopard, vous allez forcément craquer… Le Bengal descend du Felis Bengalensis, un chat sauvage asiatique. Son histoire est un peu particulière : Il parait qu’en 1963, Joan Sugden, éleveuse de Yurna, accoupla deux chats totalement différents, l’un était son chat de couleur noir. De cette union unique est née Kinkin, une superbe femelle à l’aspect sauvage. Conquis par cette naissance, la jeune éleveuse avait le projet de continuer sur sa lancée. Mais faute de moyen, elle a du abandonner. Quelques années plus tard, elle découvre le travail d’un célèbre chercheur américain qui croisait des chats de races différentes (afin d’étudier leurs défenses immunitaires). Elle en profita donc pour le contacter et « échanger » des petits félins avec lui. Et c’est grâce à ses futures expériences de reproduction que naquit en 1985 : Le Bengal, un chat « hybride », à l’apparence de « chat léopard ». La reconnaissance officielle...

LIVRE « Drôles de chats » par Anne Davis

occuper son chat pendant le confinement

Pour les amoureux des chats, voici un livre indispensable, une sorte de Who’s Who des félins qui est sorti aux éditions Bartillat sous le titre « Drôles de chats ».  Un bottin mondain de nos amis à la fourrure, héros ou muses, compagnons discrets et présents à la fois.   On retrouvera dans ces pages bien évidemment des chats de fiction fort connus comme Félix, Grosminet, Thomas O’Maley, mais aussi Bébert (le chat de Céline), Gaston (le chat de Paul Morand), Gris-Gris (celui du général de Gaulle, ou Kiki-la-doucette (un des chats de Colette). D’autres méritent également une entrée comme Alphonse (le chat de Marcel Aymé), Tybert (le chat du roman de Renart) sans oublier Choupette, le chat de Karl Lagerfeld.     On retrouvera Finette, le félin de Rémo Forlani, les chats de Malraux, ceux de Léonor Fini, ceux de la famille de Victor Hugo, celui de Charles Dickens, de Pierre Loti, de Dumas, Baudelaire ou Théphile Gautier.   Chaque entrée fait l’objet d’un développement qui restituera la relation du chat avec son maître ou sa maîtresse.  De petits dessins ponctuent le texte de ce livre vendu à prix sage (17 euros). Les 272 pages sont ludiques, charmantes et érudites. C’est...

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